On se croirait dans une carte postale : l’eau est turquoise, l’ombre des palmiers se découpe sur le sable blanc, des petites paillotes sont juchées sur des pilotis, l’ambiance est tahitiesque.

On est à 10 minutes de bateau taxi de Nouméa, sur l’îlot Canard, un lopin de terre qui émerge juste assez pour qu’on puisse y planter quelques palmiers, un faré (une paillote) resto et une cargaison de touristes en maillot de bain.

Certains y font rôtir leur peau australienne sous les rayons ravageurs du soleil (les japonais restent sous les parasols). Mais on y vient surtout pour plonger son nez au fond de l’eau. Un masque, un tuba, une paire de palmes et c’est parti !

Une zone de corail protégée sert de refuge à une abondante vie sous-marine. Un petit « sentier » aquatique délimité par des bouées permet d’aller observer les poissons et les coraux sans risquer d’endommager ce fragile écosystème. Je suis resté fasciné par les couleurs de la faune aquatique.

J’ai aussi pu profiter de la faune aérienne. Sur l’îlot Maitre situé à côté, j’ai vu des mouettes de très près (de trop près) : ces bruyants volatiles ont tenté de manger les frites de mon assiette ! Elles ont reçu quelques coups de tongs dans les plumes. Il n’est pas né le piaf qui va me piquer ma bouffe !



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