Les instructions sont formelles : pour rentrer en Italie, il faut un test covid de moins de 48h. Mercredi, on est donc allé se faire inspecter le nez au coton-tige pour obtenir le précieux sésame. Puis Transavia a repoussé l’heure du vol et nos tests se sont retrouvés à 49h du décollage. Du coup, re-belotte, on est repassé à l’écouvillon.
C’est donc le nez doublement récuré que nous nous sommes présentés, preuves de tests en main, à l’aéroport où l’on nous a… absolument rien demandé. Ni à Paris, ni à Palerme. Que dalle. Bravo les frontières sanitaires !
Mais avoir le nez bien dégagé permet de mieux sentir la ville. A Palerme, on est accueilli par des montagnes de poubelles qui jonchent les rues et marinent au soleil. Un bonheur pour les narines.
Les poubelles cachent une ville au passé riche et au charme décrépi. On a juste eu le temps d’une passaggiata dans les ruelles du centre historique (merci Transavia d’avoir repoussé le vol) mais cela donne déjà envie d’aller fourrer notre nez dans les palais et les églises.
Récit de nos aventures
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J2 - Palerme : Angelots de midi et démons de minuit Quand il fait 31°C dès le lever du soleil et presque 40°C à midi, Il faut adapter ses horaires pour visiter la ville. Dès… lire la suite |