Attention, risque de claquage !

Quand on passe du petit salon extérieur où l’on sirote l’apéro au coucher du soleil vers la table où nous attend le repas, il faut contourner la piscine. Gros effort ! Heureusement, c’est le seul effort que l’on fera de la soirée. Sauf à compter le billard comme un sport, mais vu notre niveau, ce serait un handisport.

La préparation du repas, tout comme celle de la Caïpi de l’apéro, est prise en charge par le personnel de la villa où nous avons posé nos valises pour la semaine. (Et pour être précis, c’est aussi le personnel qui a posé nos valises dans la chambre…).

Nous avons retrouvé des copains new yorkais dans cette « maison » qu’ils ont louée à Punta Cana pour passer les fêtes de fin d’année au soleil. Une modeste bicoque où, si l’on en croit les photos, Bill Clinton et Will Smith aussi sont venus passer quelques vacances en toute simplicité.

 

Le lieu est magique. La villa a été conçue dans un style balinais à la fois décontracté et incroyablement chic. Par exemple, le couloir qui permet de rejoindre les chambres depuis le living room est bordé d’une petite rivière avec des carpes koï et des petits requins (de 30 cm).

 

La dining room permet d’inviter jusqu’à 24 personnes autour de sa grande table. Mais on peut préférer dîner sur l’une des trois tables extérieures.

 

La piscine, face à la mer, a différents niveaux de profondeur pour pouvoir y bronzer, y papoter, y barboter, voire même y nager !

 

La villa se trouve dans une zone résidentielle assez bien fréquentée. Julio Iglesias habite un peu plus loin et Kenny West a habité dans la maison d’à côté (qui est moins jolie que la nôtre, nah).

La villa est immense. Nous devions être plus nombreux mais le covid et ses aléas en ont décidé autrement et nous nous retrouvons à cinq dans cette immense maison. Cinq pimpins servis par une escouade pléthorique, j’ai identifié au moins 2 femmes de chambre, 2 serveurs, 1 cuisto, 1 majordome et 1 concierge.

On craignait d’être un peu intimidés par cette débauche de luxe. Mais finalement on s’y est fait assez bien ! Vu la vitesse à laquelle on s’adapte à être servis, j’en viens à me demander si nous ne sommes pas génétiquement programmés pour cela. Dire que la semaine prochaine, il faudra refaire son café soi-même… Ca va être dur !



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