Le jour le plus long. Réveil 4h30. 5h30 dans le bus. 8h dans l’avion.
9h à Abou Simbel. Visite. Et rebelote bus-avion-bus et nous revoilà sur le bateau à 12h30 pour le déjeuner.

Y a pas à dire, Abou Simbel, la carte postale la plus connue d’Egypte (mais si… les 4 statues géantes taillées dans la pierre) vaut bien qu’on se réveille aux aurores. Rien de tel qu’un roi megalo comme Ramses II pour faire construire des monuments mirobolants à sa propre gloire. On a vérifié sur les statues : ses chevilles mesurent plusieurs mètres. Mais elles sont taillées avec une finesse incroyable – le reste aussi d’ailleurs.  L’interieur des deux temples (le petit est pour sa femme) sont bien conservés avec notament un récit coloré – au sens littéral et figuré – de la bataille de Qadesh où notre ami Ramses 2 a ratatiné ses ennemis.

Après midi transfert vers Louxor. Sitôt arrivé (enfin, après une crêpe au miel de bienvenue, mais on fait attention…), sitôt arrivé, donc, nous nous sommes précipités pour aller visiter le temple de Louxor by night. Nos amis GMs nous ont pris pour des fous de boycoter la piscine avec un bar au milieu d’où on pouvait admirer le coucher du soleil sur le Nil, un verre de mijoto à la main. Mais l’appel des vieilles pierres a été le plus fort. Et l’on a pas été déçus. A la nuit, le temple est superbe. Les éclairages rasants font apparaitre les reliefs et disparaitre les groupes de touristes.

L’occasion de revoir notre ami Ramses 2 réduire à nouveau en bouillie ses ennemis à la bataille de Qadesh. Sacré fanfaron ce Ramses dos ! Mais sacré batisseur aussi.