19, comme la Corrèze. C’est ce qu’indique le panneau planté le long de la petite ligne de chemin de fer ensablée. En saison, un tchoutchou circule, parait-il, sur cette voie ferrée pour répartir les vacanciers le long de l’immense plage de la Costa de Caparica.

Mais en avril, point de train : il faut marcher pour rejoindre ce 19ème arrêt du bout du monde. Puis il faut grimper la dune pour atteindre enfin l’une des plus belles plages gays au monde.
En ce samedi ensoleillé, ils sont assez nombreux à avoir bravé les 15 km d’embouteillages depuis Lisbonne et la balade le long des rails pour venir parfaire leur bronzage sur cette magnifique plage loin de tout.

La mer est belle. La plage est immense. Le sable est fin. Les bronzeurs sont mignons. Un petit coin de paradis !
Seul bémol : la mer est aussi froide qu’en Normandie !
